L’EXPO de L’ÉTÉ 2018

Du 14 juin au 25 août 2018

LES INVITÉS

FRED VALET avec son robot « ALFRED EXP(L)OSE DE JOIE »

Qui est FRED  VALET ?
Un Lausannois aussi longiligne que quadragénaire, plus à l’aise avec un stylo qu’avec une boule de bowling, une tondeuse à gazon ou une calculatrice. Fred Valet écrit des trucs. Dans des journaux, dans des micros, dans des carnets, dans des bars et dans l’urgence.

Qui est ALFRED ?
Un tas de ferraille mal réveillé et mal dessiné qui pense qu’on peut naître moche, mais finir en beauté. Taquin et grivois, Alfred a été fabriqué pour dissoudre les états d’âme dans un grand bain d’aphorismes. Un robot bobo (ou l’inverse), gorgé de mots, de jeu, de bonnes intentions, de mauvaise foi et de contradictions, persuadé que l’existence n’est qu’une somme (précieuse) de petites phrases.

« ALFRED EXP(L)OSE DE JOIE » Pour la 1ère fois depuis sa fabrication, le petit robot s’en va bronzer ailleurs que sur Instagram!

 

RAPHAËL ENARD aka RAPHELSON et ses « INSTANTANÉS DU QUOTIDIEN »

RAPHELSON est le nom de scène du chanteur/compositeur Raphaël Enard qui a publié deux album studio, et un album live au Montreux Jazz Festival. Utilisant les réseaux sociaux pour promouvoir sa musique, Raphelson a été séduit par l’application Instragram.

Après une formation en photographie et étant issu d’une famille de cinq générations de photographes, l’avènement du numérique a quelque peu bouleversé sa manière d’approcher l’image. Finalement, le fait d’avoir constamment en prolongement du bras, un téléphone portable avec la capacité de réaliser des instantanés de qualité à n’importe quel moment, est devenu, comme dans le film de John Waters « Pecker » une habitude quotidienne de capturer des visages, des objets, des moments cocasses, d’abord en mettant en scène ses sessions d’enregistrement, puis simplement en saisissant le quotidien qui l’entoure avec un œil bien à lui.

Les « INSTANTANÉS DU QUOTIDIEN » de Raphelson sortent également pour la 1 ère fois de vos téléphones portables pour venir s’imprimer sur un magnifique papier FineArt.

 

MATHIAS GOOD avec de nouveaux « TROPHÉES PHOTOGRAPHIQUES »

MATHIAS  GOOD est très tôt aspiré par plusieurs aspects du monde des images. Ouverts à multiplier les expériences artistiques, il pratique rapidement tous les formats créatifs dont des petits films et des sculptures croisant ses inspirations visuelles à ses autres passions, notamment la pêche que l’on retrouve souvent dans ses œuvres .

« PHOTO SOUVENIR »
Toujours plus d’images de prouesses… Pas plus de prouesses pour autant…

Les « photos-sculptures » de Mathias mixent humour et objets ou éléments du quotidien, elles explorent le rapport que nous entretenons tous aujourd’hui avec la photographie et qui génère une infinie production d’images documentant nos vies.
Autant de clichés ordinaires motivés par un nombrilisme partagé, voués à échouer sur des cartes mémoires, qui reviennent ici en volume, dans notre réalité sous la forme de ces « trophées » décalés.
« Je suis de cette génération virtuelle et quand je pêche une truite, je la relâche, mais avant je la photographie: j’ai quand même mon trophée ! »

 

Et comme vous êtes nombreux à le plébisciter, de nouveaux collages numériques de l’artiste français JEAN LECOINTRE (Galerie Arts Factory)

JEAN  LECOINTRE – artiste atypique de la scène graphique contemporaine, Jean pratique le collage numérique. Elève de Roman Cieslewicz, il puise son inspiration en disséquant toutes sortes de vieux papiers – magazines de mode, journaux, romans photos – pour livrer des ambiances étranges, évoquant tout à la fois l’univers de David Lynch période «Eraserhead» ou les associations déstabilisantes de Luis Buñuel.

En parallèle, il s’essaye avec succès à l’édition jeunesse en signant «Les Dents du loup»(2002), «Les Animaux domestiques» (2007) et «À la mode» (2010), trois ouvrages particulièrement remarqués, édités par Thierry Magnier, en vente également à la galerie.

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